Новые поступления в отдел литературы на иностранных языках

1Didier Eribon. Retour à Reims. – France: Champs, 2018. – 248 p.

Après la mort de son père, Didier Eribon retourne à Reims, sa ville natale, et retrouve son milieu d’origine, avec lequel il avait plus ou moins rompu trente ans auparavant. Il décide alors de se plonger dans son passé et de retracer l’histoire de sa famille. Évoquant le monde ouvrier de son enfance, restituant son ascension sociale, il mêle à chaque étape de ce récit intime et bouleversant les éléments d’une réflexion sur les classes, le système scolaire, la fabrication des identités, la sexualité, la politique, le vote, la démocratie… Réinscrivant ainsi les trajectoires individuelles dans les déterminismes collectifs, Didier Eribon s’interroge sur la multiplicité des formes de la domination et donc de la résistance. Un grand livre de sociologie et de théorie critique.    

 

2Amélie Nothomb.Cosmétique de l’ennemi. – Paris: Le Livre de Poche, 2003. — 120 p.
Jérôme Angust, homme d’affaires, est bloqué dans un aéroport car son avion est retardé pour une durée indéterminée en raison de problèmes techniques. Pour passer le temps, il se met à lire lorsqu’il est interrompu par un certain Textor Texel, un hollandais qui le harcèle de sa conversation insensée. Jérôme cherche à s’en débarrasser en lui demandant de le laisser tranquille, lui disant que sa conversation ne l’intéresse pas le moins du monde. Texel s’en moque, il affirme que «dans la vie, il ne fait que ce qu’il a envie».
L’inconnu continue de lui raconter sa vie où il se prétend coupable de meurtres par exemple : avoir, enfant, prié pour qu’un de ses camarades de classe dont il était jaloux meure, le lendemain le camarade de 8 ans est décédé d’une crise cardiaque incomprehensible. Jérôme, excédé, le prend pour un fou jusqu’au moment où … Texel lui fait d’autres révélations qui vont cette fois atteindre Jérôme le menant de l’indécision au doute puis à la révélation concernant les explications de cet inconnu.
Un roman court de 120 pages qui se lit en en peu plus d’une heure et qui sans être exceptionnel sait pourtant captiver l’intérêt progressif du lecteur.

 

 

3Maman a tort. – Paris: Pocket, 2016. – 544 p.Michel Bussi
Vasile Dragonman est psychologue scolaire et parmi ses petits patients figure un enfant dont les déclarations l’intriguent. Malone, trois ans et demi, prétend que sa maman n’est pas sa vraie maman. Il raconte, avec des précisions étonnantes pour un garçon de cet âge, sa vie d’avant. Une vie où Malone affirme avoir vu des fusées et un bateau pirate. L’insistance de l’enfant, sa capacité à décrire avec autant de constance certains détails éveillent en Vasile une intuition. Celle que Malone dit la vérité. Pourtant, tout atteste du contraire mais Vasile décide de contacter la police. Marianne Augresse, commandante, n’a guère de temps à consacrer à ces histoires qu’elle prend pour des fables tout droit sorties de l’imagination d’un enfant. Elle est sur le point de coincer un dangereux braqueur en cavale, Timo Soler, impliqué avec des complices dans un casse à Deauville qui a fait deux morts et dont on n’a toujours pas retrouvé le butin ni coincé les auteurs…

 

 

4Guillaume Musso. Un appartement à Paris. – Pocket, 2018. – 542 p.

Paris, un atelier d’artiste au fond d’une allée verdoyante. Madeline, une ex-flic londonienne, y est venue pour panser ses blessures. Gaspard, un auteur misanthrope, l’a loué pour écrire dans la solitude. A la suite d’une meprise, ces deux écorchés vifs sont contraints de cohabiter quelque temps. Dans l’atelier, où plane encore le fantôme de l’ancien propriétaire, Madeline et Gaspard vont mettre au jour un secret terrifiant. Et cette découverte glaçante va les forcer à affronter leurs propres démons dans une enquête vertigineuse qui les changera à jamais.

 

 

5Michel Bussi. Gravé dans le sable. – Paris: Pocket, 2015. – 478 p.
Quel est le prix d’une vie ? Quand on s’appelle Lucky, qu’on a la chance du diable, alors peut-être la mort n’est-elle qu’un défi. Un jeu. Ils étaient cent quatre-vingt-huit soldats sur la péniche en ce jour de juin 1944. Et Lucky a misé sa vie contre une hypothétique fortune. Alice, sa fiancée, n’a rien à perdre lorsque, vingt ans plus tard, elle apprend l’incroyable pacte conclu par Lucky. De la Normandie aux Etats-Unis, elle se lance en quête de la vérité et des témoins de l’époque…

 

 

6Jean-Philippe Arrou-Vignod. Des vacances en chocolat. – Paris: Folio Junior. 2009. — 80 p.

Cet été, la famille des Jean-Quelque-Chose au grand complet part à l’Hôtel des Roches à Rouges. Au programme, excursions à la mer avec le canoë et les chaussures en plastique qui donnent des ampoules, visite clandestine de l’hôtel à l’heure de la sieste, représentation exceptionnelle du grand cirque Pipolo, sans oublier le passage du tour de France. Et surtout, quelques cartes postales bien senties aux cousins Fougasse !
Humour, tendresse et batailles de polochons, avec les six Jean-Quelque-Chose, les vacances ne sont pas de tout repos. Un vrai régal !

 

 

7Jean-Philippe Arrou-Vignod. La cerise sur le gateau. – Paris: Gallimard Jeunesse, 2013. — 192 p.
Décidément, impossible d’avoir la paix quand on est six garçons qui s’appellent tous Jean-Quelque-Chose. Depuis que Jean-A. veut devenir idole des jeunes, la famille tout entière est menacée d’invasion par une espèce inconnue : les filles. Jean-B, lui, s’est promis de ne jamais tomber amoureux. Plutôt finir scout marin ! Mais peut-on échapper à l’âge bête ? Même si papa est très fort comme médecin et maman très organisée, cette année chez les Jean risque bien de faire boum !

 

 

8Emily Blaine. Si tu me le demandais — Paris : Harlequin, 2017. – 380 p.

Elle est sa deuxième chance d’être heureux. En un regard, un sourire et quelques phrases échangées, Julianne a bouleversé la vie de Cooper. Le temps de leur conversation fortuite sur la terrasse d’un hôtel, elle est parvenue à apaiser les plaies de son âme  et, pour la première fois depuis huit ans, Cooper n’a plus senti le poids de son chagrin. Car, depuis qu’il a perdu sa femme, il se débat chaque jour avec la douleur de l’absence du grand amour de sa vie  ; une lutte qu’il mène pour leur fille, Cecilia, désormais adolescente. Mais, lorsqu’il recroise par hasard Julianne, Cooper comprend qu’il doit prendre en main son destin  : s’il veut une deuxième chance d’être heureux, il va devoir conquérir cette femme qui le trouble.

 

 

9Michel Bussi. Le temps est assassin. – Paris: Pocket. 2017. – 614 p.

Eté 1989. La Corse, presqu’île de la Revellata, entre mer et montagne. Sur cette route de corniche, au-dessus d’un ravin de vingt mètres, une voiture roule trop vite et bascule dans le vide. Une seule survivante : Clotilde, quinze ans. Ses parents et son frère n’ont pas eu la même chance. Eté 2016. Clotilde revient pour la première fois sur les lieux du drame, accompagnée de son mari et de sa fille adolescente.
Elle veut profiter de ces vacances pour exorciser le passé. C’est au camping dans lequel elle a vécu son dernier été avec ses parents que l’attend une lettre de sa mère. Vivante ?

 

 

10Michel Houellebecq. Sérotonine. – Paris: Flammarion, 2019. – 352 p.
«Mes croyances sont limitées, mais elles sont violentes. Je crois à la possibilité du royaume restreint. Je crois à l’amour» écrivait récemment Michel Houellebecq. Le narrateur de Sérotonine approuverait sans réserve. Son récit traverse une France qui piétine ses traditions, banalise ses villes, détruit ses campagnes au bord de la révolte. Il raconte sa vie d’ingénieur agronome, son amitié pour un aristocrate agriculteur (un inoubliable personnage de roman — son double inversé), l’échec des idéaux de leur jeunesse, l’espoir peut-être insensé de retrouver une femme perdue.
Ce roman sur les ravages d’un monde sans bonté, sans solidarité, aux mutations devenues incontrôlables, est aussi un roman sur le remords et le regret.

 

 

11Kerstin Gier. Rubinrot. Liebe geht durch alle Zeiten. – 2016. – 345 S.
Manchmal ist es ein echtes Kreuz, in einer Familie zu leben, die jede Menge Geheimnisse hat. Der Überzeugung ist zumindest die 16jährige Gwendolyn. Bis sie sich eines Tages aus heiterem Himmel im London um die letzte Jahrhundertwende wiederfindet. Und ihr klar wird, dass ausgerechnet sie das allergrößte Geheimnis ihrer Familie ist. Was ihr dagegen nicht klar ist: Dass man sich zwischen den Zeiten möglichst nicht verlieben sollte. Denn das macht die Sache erst recht kompliziert!

 

 

12Kerstin Gier. Gegensätze ziehen sich aus. – 2008. – 333 S.
Was macht Frauen glücklich? Mit der Boutique Pumps und Pomps kann sich die MÜTTER-MAFIA, die kreative Gegenbewegung zu allen Super-Muttis, bald alle Träume selbst erfüllen. Hier gibt es nicht nur traumhafte Stilettos, wunderschöne Stiefel und köstlichen Cappuccino, sondern auch die besten Tipps in Herzensangelegenheiten.
Und die kann Constanze, genannt DIE PATIN, selber gut gebrauchen. Denn die Zukunftspläne ihrer ganz großen Liebe Anton passen leider so gar nicht zu ihren eigenen …

 

 

13Kerstin Gier. Männer und andere Katastrophen. – 1996. – 285 S.
Judith, 26, ist ziemlich unzufrieden. Ihr Freund kümmert sich nur noch um Sport und andere Frauen, das Studium und den Bürojob hat sie satt, und die Männer, mit denen sie sich trösten möchte, sind die reinsten Katastrophen. Auch ihren Freundinnen ergeht es nicht besser: Susanna hat alle Prinzipien über Bord geworfen und sich dem Mammon zuliebe mit einem gefräßigen Langweiler eingelassen, Katja lässt sich von ihrem Freund belügen und betrügen, und Bille verliebt sich ausgerechnet in einen notorischen Angeber …

 

 

14Lori Nelson Spielman. Heute schon für morgen träumen: Roman. — FISCHER Krüger Verlag 2018. – 400 S.

Der vierte Roman von der Jahres-Bestsellerautorin Lori Nelson Spielman
Als Emilia auf dem New Yorker Flughafen ihre verrückte 79-jährige Großtante Poppy trifft, bekommt sie plötzlich Angst vor der eigenen Courage. Warum hat sie bloß deren Einladung zu dieser weiten Reise nach Italien angenommen? Poppy tut so, als wüsste sie allein, was im Leben wichtig ist: etwas riskieren, Erfahrungen sammeln und sich selbst dabei treu bleiben. Das Leben als bunten Strauß an Möglichkeiten genießen — lache laut, singe falsch, liebe innig! Ist vielleicht etwas dran an dem, was Poppy sagt?
Emilia wagt es: Sie tanzt auf Brücken, umarmt die Sonne und genießt die Magie des Augenblickes. Dabei kann wohl kaum etwas schiefgehen, oder? Ein inspirierender Roman, eine Reise zu den Wurzeln einer Familie in Italien, eine Liebesgeschichte über Kontinente hinweg und ein Wegweiser durch die verschlungenen Pfade des Lebens zum Glück.

 

 

15Angelika Felenda.  Der eiserne Sommer: Reitmeyers erster Fall. Kriminalroman (Kommissär-Reitmeyer-Serie). — München:Suhrkamp Verlag, 2016. – 435 S.

München 1914: Während die Bevölkerung wie im Taumel das hundertjährige Bestehen des königlichen Leibregiments feiert, wird am Isarufer die Leiche eines jungen Mannes gefunden. Die Todesumstände gelten als »pikant«, und die Behörden würden den Fall am liebsten unter den Teppich kehren. Doch der junge Kommissär Reitmeyer macht sich gegen den Willen seiner Vorgesetzten auf die Suche nach dem Mörder. Seine Ermittlungen führen ihn von den Arbeitervierteln bis in die Villen der Großbürger. Und in das berühmt-berüchtigte Café Neptun, Vergnügungsort der Offiziere. Ausgerechnet dort stößt er auf eine heiße Spur.
Weil er per Gesetz nicht gegen das Militär ermitteln darf, drängt der Polizeipräsident persönlich Kommissär Reitmeyer, seine Ermittlungen in einem Mordfall einzuschränken. Da macht Reitmeyer eine ungeheuerliche Entdeckung, die nicht nur ihn selbst zum Abschuss freigibt – unmittelbar vor Kriegsausbruch könnte sie das ganze Land in den Untergang stürzen …

 

 

16Susanne Goga. Nachts am Askanischen Platz: Kriminalroman (Leo Wechsler). – München:dtv Verlagsgesellschaft, 2018. – 320 S.

Das Berlin der goldenen 1920er Jahre bildet die Kulisse für Susanne Gogas Serie um den Kriminalkommissar Leo Wechsler. In dem sechsten Teil der Reihe ermittelt die Polizei im Falle eines unbekannten Toten, der auf einem Schulgelände entdeckt wird. Der schäbig gekleidete Mann, der im Geräteschuppen des Berliner Gymnasiums im Januar 1928 erwürgt aufgefunden wird, kann erst mal nicht identifiziert werden. Bei der Obduktion wird festgestellt, dass der Leichnam diverse Narben, Brüche und eine verheilte Schusswunde aufweist. Diese Merkmale sowie der unterernährte Zustand deuten auf Kriegsverletzungen hin. Viele ehemalige Soldaten waren nach dem 1. Weltkrieg in Gefangenschaft geraten und danach traumatisiert nicht mehr auf die Beine gekommen. Für Leo Wechsler und seine Kollegen Robert Walther und Jacob Sonnenschein gestalten sich die Recherchen mühsam. Einziger Hinweis ist eine russisch sprechende, hilflos wirkende Frau. Diese hatte einige Tage zuvor verzweifelt in dem neben der Schule befindlichen Theater nach ihrem Verlobten, einem Mann namens Fjodor, gesucht.

 

 

17Susanne Goga. Das Haus in der Nebelgasse: Roman. — Diana Verlag, 2017. – 448 S.
London 1900: Matilda Gray ist Lehrerin an einer Mädchenschule und führt das Leben einer unabhängigen Frau. Als ihre Lieblingsschülerin Laura nicht mehr zum Unterricht erscheint, ahnt Matilda, dass diese in Gefahr ist. Zu plötzlich ist ihr Verschwinden, zu fadenscheinig sind die Begründungen des Vormunds. Eine verschlüsselte Botschaft, die ihr Laura auf einer Postkarte schickt, bringt Matilda auf die Spur des Mädchens. Ihre Suche führt sie zu dem Historiker Stephen Fleming und mit ihm zu einem jahrhundertealten Geheimnis, tief hinein in die verborgensten Winkel der Stadt.